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Dans le code du commerce Français, le Vendeur à Domicile Indépendant, (VDI), est un démarcheur indépendant lié à une entreprise par un contrat.

Conformément aux principes dictés dans le contrat entre les deux entités, l’entreprise confie une partie de ses produits ou services, au VDI.

La forme de la collaboration peut évoluer, selon la nature du contrat.

Ce qu’il faut préciser, par ailleurs, c’est que, le VDI est astreint de mener ses démarches commerciales de façon physique.

Contrat VDI : les 3 différents contrats ?

L’usage des télécommunications ou des espaces commerciaux publics lui est interdit, selon l’article L-135-1, du code du commerce.

La Vente directe opérée par les Vendeurs à Domiciles Indépendants, relève du domaine du marketing de réseau.

Découvrez dans cet article, les différents types de contrats pouvant lier le Vendeur à Domicile Indépendant à une entreprise.

Les avantages de la collaboration VDI

Pour les entreprises, travailler avec des Vendeurs à Domiciles Indépendants (VDI), est une des meilleures techniques de rentabilisation.

Cette forme de collaboration, présente, l’avantage de permettre aux deux parties, de réaliser des bénéfices de façon indépendante.

En s’octroyant les services d’un VDI, l’entreprise augmente ses bénéfices par un écoulement, plus rapide de ses produits.

Les commissions consenties au démarcheur, n’affectent pas la marge bénéficiaire de l’entreprise.

Dans le même temps, le VDI, peut générer des revenus personnels, à partir des commissions qu’il glane sur la vente des différents produits.

Les conditions de rentabilité de son activité, sont déterminées, en fonction du type de contrat qu’il signe avec l’entreprise.

Les trois types de contrat VDI

Trois types de contrats sont prévus par le législateur français pour régir la collaboration entre le Vendeur à Domicile Indépendant et une entreprise. 

Ce sont le contrat de VDI mandataire, le contrat de VDI acheteur-vendeur ou le contrat de VDI courtier.

Le contrat VDI acheteur-vendeur

Selon les termes fixés dans le contrat VDI acheteur-vendeur, le VDI achète les produits et services d’une entreprise, pour ensuite les revendre.

Ces actifs sont revendus à son client, en son nom, mais sous l’enseigne de l’entreprise.

La marge bénéficiaire perçue entre les deux actes, correspond à sa rémunération.

Les différents bonus liés aux performances de vente viennent en complément.

Le VDI garde une marge de manœuvre sur les prix à la vente.

En effet, l’entreprise, lui recommande, "un prix de vente conseillé".

Cependant, il lui appartient de fixer le tarif final à appliquer.

Ses critères peuvent évoluer selon qu’il souhaite se faire de la clientèle en réduisant au maximum sa marge bénéficiaire.

Il peut aussi décider de monter jusqu'au prix plafond voulu par l’entreprise pour préserver son image de marque.

Par ailleurs, le VDI, peut rester dans les limites du recommandable, en appliquant les prix qui lui ont été conseillés par l’entreprise pour demeurer crédible auprès de sa clientèle.

Au cas où le stock du VDI s’épuise, sa marge bénéficiaire s’applique de façon systématique.

Les nouveaux achats qu’il fera auprès de l’entreprise dépendront alors du niveau de la demande.

Si l’opération de vente a été convaincante, et que de nouvelles commandes se signalent, il peut, naturellement reconstituer son stock.

Dans ce cas, il devra privilégier les produits les mieux vendus pour être sûr de les écouler rapidement.

Cela lui permettrait de se montrer très réactif dans la livraison.

Les types de produits sur lesquels, il est intéressant de tabler dans ce type de vente sont les produits de grande consommation.

On fait référence par exemple aux produits alimentaires, aux cosmétiques, et autres fréquemment sollicités par les populations.

Il faut cependant, bien évaluer le niveau potentiel de la demande pour ne pas se retrouver avec des invendus, qu’il faudra liquider.

En cas d’impayés, il reviendra au VDI de les assumer, d’où l’importance pour lui de se montrer particulièrement vigilant quand il s’agit de vendre les marchandises à crédit.

Le contrat VDI mandataire

Dans le contrat VDI mandataire, le vendeur opère au nom de l’entreprise, sur le terrain.

Sa rémunération s’effectue ensuite, sur les commissions déduites de son chiffre d’affaires.

Les délais de versements des montants des ventes sont définis de commun accord entre l'entreprise et lui.

Toujours est-il qu’ils sont différés par rapport à la date à laquelle le produit a été vendu.

Pour le VDI, cela a pour conséquence de ne pas percevoir sa marge bénéficiaire dans l’immédiat.

Dans ce type de contrat, les prix sont exclusivement fixés par la société.

Cela signifie de façon claire que le vendeur ne peut appliquer une tarification différente de celle fixée par la société.

Ce modèle de collaboration présente des avantages certains en termes de contrôle de la marge sur les produits pour l’entreprise.

Pour le VDI, cette formule lui permet d’être mieux formé.

De plus, il est certain de ne pas subir de pertes, puisqu'il est à l’abri des invendus qui sont entièrement à la charge de l’entreprise.

Le Vendeur à Domicile Indépendant peut alors disposer d’un stock important sans risque de se retrouver piégé.

Puisqu'il travaille pour le compte de l’entreprise, il n’a aucun montant à verser au préalable avant de s’engager dans la commercialisation des produits.

De même, lorsque les ventes n’aboutissent pas, le VDI peut selon les termes de son contrat exiger un remboursement de la part de l’entreprise.

En cas de séparation litigieuse avec l’entreprise, l’interprétation des termes juridiques peut être sujette à controverse.

La société est dite demeurer la propriétaire du portefeuille et le VDI mandataire de la clientèle.

La nuance entre les deux notions débouche sur des expertises juridiques.

Le contrat VDI courtier

Le dernier type de contrat pouvant régir la relation VDI-entreprise est le contrat VDI courtier, une convention particulièrement rare. 

Il ne s’agit pas véritablement d’une activité qui entre dans le registre du marketing de réseau.

Cela se justifie par le fait que le courtier joue le rôle d’un intermédiaire.

Son devoir est de mener des prospections, et les clients potentiels qu’il trouve sont mis en relation avec l’entreprise.

C’est donc elle qui conclut l’acte de vente et procède à la signature du bon de commande.

La rémunération du VDI courtier se fait également sur les commissions de ses ventes.

Ce modèle se rapproche plus du profil du commercial plutôt que du marketing de réseau.

À analyser de près, chaque type de contrat, présente des avantages et des inconvénients.

Il est, alors important, de bien étudier les paramètres de chaque proposition avant de parvenir à un accord.

Rappelons par ailleurs que pour chaque type de contrat, les clauses sont négociables entre l’entreprise et le Vendeur à Domicile Indépendant (VDI).

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